sortie national le 10 mai
25 décembre 1960 : Zachary Beaulieu vient au monde entre une mère aimante et un père un peu bourru mais fier de ses garçons.
C’est le début de C.R.A.Z.Y., le récit de la vie d’un petit garçon puis d’un jeune homme pas comme les autres, qui va jusqu’à renier sa nature profonde pour attirer l’attention de son père.
Un portrait de famille qui dépeint la vie souvent extraordinaire de gens ordinaires à la poursuite de leur bonheur.
De 1960 à 1980, entouré de ses quatre frères, de Pink Floyd, des Rolling Stones et de David Bowie, entre les promenades en moto pour impressionner les filles, les pétards fumés en cachette, les petites et grandes disputes et, surtout, un père qu’il cherche désespérément à retrouver, Zac nous raconte son histoire...
Les résultats exceptionnels de la dernière année sont le couronnement de cinq années d'une croissance extrêmement rigoureuse. Les chiffres sont éloquents : 19% de part de marché, soit plus de cinq millions d’entrées et plus de 35 millions de recettes au guichet au Québec, mais il n’y a pas que les résultats du box-office pour témoigner de la vitalité de l’industrie du cinéma québécois. Le rayonnement international de plusieurs productions québécoises confirme de façon extraordinaire la qualité et le dynamisme de ce cinéma.
Le cinéma québécois rejoint donc son public chez lui. Est-il mûr pour se lancer à la conquête du marché international ? Rappelons les succès récents des INVASIONS BARBARES et de LA GRANDE SÉDUCTION. Quant à C.R.A.Z.Y., il a cumulé un million d'entrées (pour 7 millions et demi d’habitants), et a reçu 14 nominations aux Jutra (l’équivalent québécois des César).
Dans une petite ville côtière anglaise, trois jeunes sont entraînés dans un monde de violence et de tentation. Incapables de reconnaître la différence entre le bien et le mal, ils finiront par scandaliser la communauté somnolente et révéler ses jalousies les plus profondes.
Brutal et explosif, THE GREAT ECSTASY OF ROBERT CARMICHAEL est un violent défi à la suffisance morale et politique de nos jours. Elliptique, poétique et en même temps imprégné d'un esprit sinistre et ironique, THE GREAT ECSTASY OF ROBERT CARMICHAEL avance inexorablement vers une fin crue et choquante.